Devant l’éclair,
sublime est celui
qui ne sait rien !
Bashô (Matsuo Bashô), 1644-1694 (son ermitage possédant un bananier, bashô, c’est sous ce pseudonyme qu’il devint célèbre).
* Matsuo Bashô, adepte du zen lui-même, joue sur le double sens du verbe satoru : « comprendre » et « réaliser » au sens du plus haut achèvement (éveil, satort).
Selon un de ces paradoxes chers au zen, celui qui ne sait rien possède la vraie connaissance.
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