Élire son bourreau, ce n’est pas nouveau, avoir une approche faussée de la réalité non plus. L’individu a le droit de se fourvoyer, donc le peuple aussi.
Pauvre de nous, trahis par nos frères, nous le paierons tous au prix fort. A vouloir jouer à : « tous les mêmes », « tout mais pas lui », comme je l’ai déjà noté précédemment à choisir entre la peste et le choléra, nous lâcherons la proie pour l’hombre.
Bon courage à nous, nous avons pas fini d’en souffrir.
Le peuple a toujours tort car il est ignorant des jeux du pouvoir : les révoltes se sanctionnent par des massacres, la démocratie autorise les votes contre nature.
En France à nous occuper de notre droite et de notre gauche, nous en oublions de protéger nos arrières et sommes incapable de savoir ce qu’il va se passer devant.