Il est de plus en plus évident que les étudiants sont manipulés de l’extérieur, principalement par les grandes centrales syndicales. Les leaders syndicaux savent très bien que le Québec est sur le point de frapper le mur et ils envoient le message aux politiciens et à la population : regardez le bordel que quelques centaines de casseurs bien encadrés peuvent faire, mais ce n’est rien comparer à ce qui va arriver si vous osez toucher à nos acquis.
Les grandes centrales syndicales préparent la guerre. Leurs généraux n’hésitent pas à sacrifier les soldats (étudiants) pour impressionner l’ennemi.
Il faut espérer que la majorité des étudiants, sacrifiés à l’hôtel du socialisme, deviennent d’ardents militants antisyndicalistes. Ce ne serait pas la première fois que la gogauche se tire dans le pied.
Jeu de briques
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Pacman
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