Voilà un film que j'ai toujours beaucoup aimé.
Il faut savoir que ce grand classique du cinéma Français est utilisé par les professeurs du cours cèlebre cours simon.
Notamment cette scène dans la chambre d'hôtel qui est joué par les élèves (petit clin d'oeil à charlotte B.)
"À bout de souffle" est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960. avec dans les deux roles principaux : Jean-Paul Belmondo qui est Michel Poiccard/Laszlo Kovacs et la sublime Jean Seberg qui est Patricia Franchini
Synoptic du film
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris.
Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille.
Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées.
Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge.
La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux.
Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre plusieurs amis délinquants pour récupérer de l'argent.
En attendant que l'un d'entre eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement.
La veille de leur départ présumé pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à partir loin d'elle.
Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
Allez, au plaisir de vous lire...