Même si elle s’apparente à celle du journalisme papier, elle doit comprendre un certain nombre de compléments qui relèvent de deux types de particularités: la première réside dans la nécessaire simplification des développements.
On sait en effet qu’à partir d’un texte de plus de 2500 signes, le lecteur décroche plus facilement de l’écran qu’il ne le ferait d’une feuille de papier.
Par ailleurs, la maitrise des mots-clés et de leur insertion adéquate dans le texte et le titre nécessite une connaissance de base de la SEO.
Le rédacteur web est donc une sorte de metteur en ondes d’une ou deux idées forces par billet.
Celles et ceux qui refusent de se plier aux exigences de forme de la toile courent le risque démontré de ne pas être lus.