François Baroin et Patrick Ollier le 10 mai 2011
Ce dimanche 29 avril 2012 au soir, François BAROIN, Lucette MICHAUX-CHEVRY, Marie-Luce PENCHARD, Joël BEAUGENDRE, Laurent BERNIER, et l'incomparable Mireille NITHILA, tout ce beau monde pour une salle comble et des spectateurs sensibles aux doux mouvements de rééquilibrage des sondages pour le vote de dimanche prochain.
Les arguments toujours les mêmes qu'il faut sans cesse assener pour emporter la mise le 6 mai prochain.
La France et la Guadeloupe ont la chance d’avoir à leur tête sans doute la meilleure équipe qui soit pour gagner dans l’extraordinaire compétition que nous impose la mondialisation. Cette équipe est celle de Nicolas SARKOZY, François FILLON, François BAROUIN, Marie-Luce PENCHARD… et les autres,… On ne change pas une équipe qui gagne ! N’est-ce pas !
La Guadeloupe a aussi la chance d’appartenir à ce beau pays qu’est la France et vote après vote confirme à la face du monde son désir de France. Nicolas SARKOZY a dit qu’il comprenait qu’il entendait ce désir là et acceptait que la Guadeloupe reste comme elle le souhaite dans le droit commun comme la Réunion. Avec Nicolas SARKOZY la Guadeloupe est certaine que son souhait sera pris en compte. Sans lui, la porte est ouverte vers des horizons que nous ne souhaitons pas.
Mais la Guadeloupe a aussi des valeurs et avec Nicolas SARKOZY elle est certaine que ces valeurs seront respectées et sauvegardées. Comment ne pas être inquiet des accords qui existent de l’autre côté avec ces équations hors du compréhensible sur le cannabis, le nucléaire, l’homosexualité ou le vote des étrangers.
Vu de la Guadeloupe tout est clair avec Nicolas SARKOZY… le plus grand respect pour les homosexuel qui sont nos frères, nos sœurs, mais il faut préserver le sacrement du mariage religieux ou civil. Le plus grand respect et la plus grande compassion pour les étrangers qui souhaitent venir vivre et travailler en Guadeloupe, mais dans le cadre d’une action claire entre le pays d’accueil et le pays d’origine, le droit de vote demeurant l'exclusivité du citoyen français.