Scandal // Saison 1. Episode 4. Enemy of the State.
Il s'agit du premier épisode que j'arrive à trouver correct dans cette série. Sauf que voilà, malgré un scénario pas trop mauvais, l'esthétisme de cette série me débecte. Entre les musiques de
transition qui m'inssupportent, le jeu de Kerry Washington qui se fait de plus en plus énervant et égocentrique, … Au fond, Scandal n'a rien de mieux qu'une The Deep End, une autre série d'ABC
qui racontait la vie d'avocat chic à la manière d'une sorte de Grey's Anatomy des avocats. Bref, dans ce nouvel épisode un dictateur vient demander l'aide d'Olivia Pope. Il pense que sa famille a
été kidnappé. Olivia prend alors l'affaire malgré les réticences d'Abby. Petit à petit, quand Abby et Stephen retrouvent la femme du dictateur et ses deux enfants, ils découvrent tout simplement
qu'ils s'étaient tous enfuient. Cet épisode a permis de découvrir un peu plus le passé d'Abby. En effet, cette dernière, à cause de son passé va se sentir touchée par cette histoire, et va alors
convaincre Olivia d'aider la jeune femme et ses deux enfants à obtenir l'asile politique.
Cet épisode a donc deux tranchants. Le premier est la prise de l'affaire par Olivia, ce qui mène au second tranchant, la révélation. Le traitement est classique et se fait avec l'ambiance de la
série (que je déteste). Mais au fond, le scénario n'était pas trop mauvais. On nous propose des questions sur les problèmes d'éthique (du genre de celle d'accepter de travailler avec un
dictateur, ce dernier se comparant à quelqu'un de bien mieux qu'un Kadhafi) ou encore sur la compassion. C'est assez bien fait, et donc, pour cette gestion des personnages assez efficace. Pour
une fois. J'étais content. Scandal est une série politique ennuyeuse malgré tout, car toute la partie avec le Président manque de consistance. Effectivement, j'ai un souci avec la gestion de la
crise (et notamment du problème Amanda Tanner). D'ailleurs, Amanda Tanner n'est pas vraiment un personnage que j'aime bien mais la fin laisse apparaitre une possible suite dans les idées.
Note : 5/10. En bref, correct mais toujours très mauvais d'un autre côté...