Les primeurs 2011 à Bordeaux (4) et vive Bertrand Le Guern

Voilà, les notes de Parker sont sorties et, comme on s'y attendait, ce n'est point un feu d'artifice. Intéressant de constater que Sociando-Mallet a autant de points qu'un Latour et de constater que seul Ausone a le potentiel d'atteindre la note mythique de 100/100.

Que retenir de ces notes sur le 2011 ?

Pour ceux que les notes intéressent :

Consulter les tableaux de Bertrand Le Guern (ICI).

On va la faire simple : ce garçon (c'est encore une jeune homme dans sa tête) mérite plus que largement les honneurs, les félicitations, les encouragements, les prix, les mentions, les médailles, les repas festifs, les bouteilles en cadeau pour honorer le travail fabuleux de compilation qu'il réalise ainsi depuis plusieurs années.

Certes, il n'est pas le seul. Il y a les britons qui, dans leur esprit financier, font de même, mais pas aussi bien.

Voilà, je voulais rendre cet hommage à Bertrand Le Guern qui, dans une autre vie à un autre temps, eut été un moine majeur, dans l'ordre des honorables bénédictins !

Bertrand Le Guern, à une session du GJE. Merci Bertrand pour tout ce que tu fais !

HORS SUJET

Là, départ pour Mayence pour les journées VDP en Allemagne où nous allons rencontrer pour promouvoir le WWS plus d'une centaine de grands noms de l'Allemagne vinicole.

Mais ces deux derniers jours furent consacrés au Beaujolais, avec arrêt comme il se devait chez Emile Job et à La Poularde à La Chapelle de Guinchay.

Certes, les jeunots que j'accompagnais étaient légèrement dissipés et avaient des tocantes totalement approximatives. On sait être indulgent avec de tels zèbres comme ABM, Nicolas, Paul-David.

Mais ils écoutaient sagement ces chaleureux producteurs que sont Janin, Burgaud, Coudert et autres amis qu'on a là-bas. Je reste encore confus devant Daniel Bouland qui concentre une telle amabilité, gentillesse, sens de l'accueil, disponibilité et humilité, alors même qu'il était des préparatifs de la fête au village. Voilà un homme qui par sa seule présence, vous ramène dare-dare à une plus juste appréciation de vous-même. Vers le bas, s'entend.

Bon, on vous racontera tout ça très vite !