Fils de communiste, zappeur et collectionneur, il nous raconte sa vie, d’André Rousselet à Rupert Murdoch, en passant par son idylle avec Catherine Deneuve. Pierre Lescure n’oublie rien, ne regrette rien. Il assume tout.
Un petit moment sympathique que l’on passe en compagnie d’un homme qui nous donne l’impression d’être franc, honnête et qui, on l’espère, continuera sa “multi-carrière” (directeur du théâtre Marigny, chroniqueur radio et télé, producteur sur ces mêmes médias) pendant de longues années encore.
Et la petite dédicace obtenue lors de sa rencontre-dédicace à la FNAC de Nantes