Auteur : Rachid Mimouni
Éditeur :
Publication : 1990
Nb de pages : 233
Dans ces sept nouvelles, R. Mimouni nous plonge dans l’absurde administratif de son pays et nous invite à une réflexion sur le pouvoir et sur les risques de régression qui menacent l’Algérie prise entre la pesanteur bureaucratique et la remontée de l’obscurantisme.
Que dire … je n’ai pas apprécié ce livre ,je suis passée à coté.
Un livre à mettre dans la liste des bouquins à relire.
La ceinture de l’Ogresse a eu le prix de l’Académie française en 1991.
Il étudie les sciences à l’Université d’Alger avant d’enseigner à l’École supérieure du commerce. Président de la Fondation Kateb Yacine, il a également occupé le poste de vice-président d’Amnesty International.
Auteur réaliste, il a décrit la société algérienne. En 1993, il quitte sa ville Boumerdès et son pays en proie à la guerre civile et à l’assassinat d’intellectuels. Rachid Mimouni reste l’auteur algérien le plus récompensé à ce jour.
Œuvres principales
* « Le printemps n’en sera que plus beau » (1978)
* « Le Fleuve détourné » (1982)
* « Une peine à vivre » (1983)
* « Tombéza » (1984)
* « L’Honneur de la tribu » (1989)
* « La ceinture de l’ogresse » (1990)
* « Une peine à vivre » (1991)
* « De la barbarie en général et de l’intégrisme en particulier » (1992)
* « La Malediction » (1993)