Mais il aime les couleurs brillantes, pailletés et très lumineuses, de quoi au moins partager celles-ci... de celles qui, enfant, me parlaient beaucoup, beaucoup. Bien-sûr j'ai eu la lecture de certains contes dans mon enfance, je ne me rappelle plus avoir voulu être princesse, Blanche-Neige ou autre... mais j'aimais beaucoup "Les malheurs de Sophie" et les robes de ce temps là. Alors une robe "couleur de temps" m'impressionnait aussi beaucoup, mais elle aurait eu de la brillance, du mordoré... je rêvais plus avec les cartes de familles des insectes. Les couleurs des élytres des coléoptères et des ailes de papillons...
Ou le bleu du morpho bleu, de l'argus bleu ou poudreux
Il s'agit de couleurs irisées, chatoyantes, changeantes, dû à leur morphologie même.
Ou comme cette surface faite de plusieurs couches microscopiques et son phénomène d'interférence avec la lumière... Ces couleurs ne sont pas pigmentaires mais structurelles.
Donc une robe couleur du temps pour reprendre les contes de fées tissés en "cristal photonique".
Nous regardons ensemble aussi, avec admiration, les couleurs chaudes. Pas au sens de nuance mais bien d'apport d'énergie:
- l'incandescence d'un feu (cliquez ici pour plus de détails)
- la fluorescence du souffre ou phosphorescence (cliquez ici pour plus de détails)
- la photoluminescence (cliquez ici pour plus de détails) Oui justement: ce bleu néon des mers, ce bleu nettoyeur, déparasiteur, dont ce billet parle si bien.
J'avais découvert la couleur structurelle grâce aux documentaires sur le biomimétisme. Je reparlerais de ce concept qui m'interpelle beaucoup. Je vous laisse ici tout de même un des 4 documentaires de "Biomimétisme naturellement génial" ici l'épisode sur les étoffes du futur. Gageons que cela servira aux daltoniens.
Biomimétisme, naturellement génial : Les étoffes... par Action_Reaction