Missing // Saison 1. Episode 7. A Measure of a Man.
J'avais bien aimé l'épisode de la semaine dernière malgré ses défauts, mais cette semaine Missing nous offre ce qui est sans conteste son pire épisode. On nage de partout et surtout, on
fonctionne sur le principe du remplissage par flashback et je déteste ce genre d'épisodes là. Surtout dans une série aussi low-budget que Missing. On ne peut pas se permettre de nous ennuyer
autant. Becca était arrêtée dans l'épisode précédent par la CIA, et alors son but est de tenter de trouver un moyen de sauver son fils. Sauf que tout passe par des flashback autour d'une ancienne
mission de Becca et de Paul à Vienne en 1999. Cette mission aurait pu être sympathique si seulement elle avait un réel intérêt. On voit que Missing tente de gagner du temps avant la fin de la
saison (dans trois épisodes) car elle n'a surement plus grand chose à raconter. Un épisode de transition qui est donc très mauvais. Je me suis tellement ennuyé que j'ai failli m'endormir en plein
milieu.
Au fond, l'épisode porte bien son titre, puisque ce sont les actions de Paul qui sont jugées. Pas forcément la meilleure chose à faire, Paul étant un très mauvais personnage. D'ailleurs, la seule
action que l'on peut retrouver c'est dans le flashback et même si ce n'est pas non plus catastrophique (pour la scène de course poursuite), ce filtre apposé sur les scènes de flash-back est
tellement moche que je n'ai pas pu prendre de plaisir à regarder. Sans compter toute l'histoire de ce jeune garçon que l'on nous développe. Le personnage n'a rien de bien passionnant étant donné
que sa vendetta contre Becca n'a pas grand chose à voir avec le kidnapping de Michael au fond. Ou alors je me trompe. Mais pour moi c'est cette entreprise russe qui en est la cause. Toute la
partie interrogatoire avec Becca et cette agent de la CIA était ennuyeuse. Le souci bien des actrices. Je ne suis pas spécialement fan d'Ashley Judd dans le rôle de Becca. Je la trouve
généralement mauvaise dans la série (même si j'avais bien aimé la série au cinéma dans quelque uns de ses films).
Note : 0/10. En bref, on se fout de notre tête.