Subordonner son soutien officiel aux partis à la condition qu’ils défendent l’économie libre de marché et la croissance est une nouvelle preuve de la débilité des dirigeants de l’UBS.
Ils saisissent les premières verges qui leur sont tendues pour se faire battre, les bougres.
Ils n’ont même pas imaginé passer pour des corrupteurs, alors même que le Crédit Suisse leur a montré la voie de la raison : le financement sans condition.
Décidément, rien ne change dans cet établissement qu’il faut soutenir et pleurer tous les 6 mois.