Il paraîtrait...

- que Chelsea a éliminé le Barça. La destruction a battu la construction. Une métaphore des pratiques de nos politiques. Critiquer, pointer les défauts, viser les failles de l'autre, charger l'adversaire, plutôt que vanter ses propres qualités, ses visions. Détruire plutôt que construire. La facilité même ! Et Chelsea l'a montré : parfois, ça marche !

- que la métaphore footballistique me gagne les doigts. Les deux candidats et leurs amis se prennent pour Zidane face à Materazzi, ils veulent jouer avec le Front. C'est pas bien ! Carton rouge.

- que la cohérence me plait, donc, aujourd'hui, métaphorique. On ne change pas une équipe qui gagne. L'ONU a exigé un cessez-le-feu ; et la Syrie tue ; la Russie reste un allié de Damas, forme d'arbitre qui pourrait siffler la fin de la partie. Avouons que ça donne envie de huer les uns pour leur manque d'autorité et les autres pour leur ignominie. Et de crier : aux chiottes l'arbitre !