Voici un petit paragraphe de l’entente liant Google aux utilisateurs de Google Drive qui devrait dégonfler assez vite la balloune de tous ceux qui, comme l’auteur de ces lignes, ont vu de belles promesses dans ce nouveau service :
« En soumettant des contenus à nos Services, par importation ou par tout autre moyen, vous accordez à Google (et à toute personne travaillant avec Google) une licence, dans le monde entier, d’utilisation, d’hébergement, de stockage, de reproduction, de modification, de création d’œuvres dérivées (des traductions, des adaptations ou d’autres modifications destinées à améliorer le fonctionnement de vos contenus par le biais de nos Services), de communication, de publication, de représentation publc (sic), d’affichage ou de distribution publique desdits contenus. »
Comme tout le monde ici peut lire sans difficulté le français, vous aurez sûrement compris qu’une fois versés sur les serveurs de Google, vos photos de famile, vos souvenirs immortalisés sur pellicule (numérique) et l’ébauche de votre prochain best-seller en librairie ne vous appartiennent plus vraiment.
Le service s’est brusquement interrompu sur le Mac servant à écrire ces lignes et l’icône de Google Drive vient de disparaître pour de bon de la barre de menus. Dommage, très dommage.