En ce moment avec Epic Games c’est un peu: On tient une idée et on ne la lâche pas. Après vous avoir fait part de mon avis sur le DLC Le retour du Fénix, je remets les pieds dans l’univers de Gears of War 3 pour vous parler du dernier contenu téléchargeable intitulé Forces of Nature.
Si vous avez lu mon précédent test vous aurez compris que je ne supporte pas les DLC, exception fait de ceux qui apportent un véritable plus et, comme pour son prédécesseur, ce n’est toujours pas le cas de Forces of Nature.
Faisant parti du contenu proposé par le Season Pass(2400 MS) -qui vous permet d’enrichir régulièrement votre jeu- ce Forces of Nature offre aux joueurs :
- Cinq nouvelles maps (Aftermath, Artillerie, Cover, Jacinto et Chute Faucon),
- Trois nouveaux personnages (Baird mécano, Dom commando, Grenadier d’élite sauvage),
- Et 250 points de succès pour 800 Microsoft Points.
C’est Évelyne Dhéliat qui va être contente !
En plus de nos ennemis habituels, ces cinq cartes nous mettent en confrontation direct avec un nouvel adversaire : Dame Nature. Tempête de neige, pluie diluvienne, brouillard, inondation, anticyclone et j’en passe. C’est donc avec les caprices de la Madame que vous allez devoir adapter votre tactique de combat.
D’une beauté rare, c’est toujours un plaisir de massacrer ses ennemis sous la rosée du matin (Oui, un soldat peut avoir l’âme d’un poète). Les effets de vent sont à couper le souffle(…Et un sens de l’humour), et l’on se rend encore une fois compte de la force du moteur graphique Unreal Engine avec des effets d’eau impressionnants.
Encore une fois, malgré le travail apporté sur les cartes, ce package de 378 Mo reste beaucoup trop cher pour ce qu’il contient. On est donc très loin d’un Undead Nightmare proposé au même tarif. Ce Test-Flash fait donc plus ici office d’un coup de gueule porté aux équipes nous proposant des DLC pour tout et n’importe quoi.
Et il m’aura suffit d’une après midi avec comme seul adversaire des bots pour me rendre compte que les gamers ne sont pas encore dupes. Gamers, Gameuses on vous ment ! On vous…Bref.