Raisons ? Tout d’abord, le retour à une gestion prudente rend insoutenable leur expansion internationale. Ensuite, les contribuables qui les ont renflouées pensent normal qu’elles financent leur économie, et achètent la dette de leur pays. (Article de The Economist : The retreat from everywhere)
Le protectionnisme a le vent en poupe ?
Ceci pose quelques questions :
- Ce reflux, comme le flux, ne risque-t-il pas d’être trop brutal, et de laisser quelques pays fragiles le ventre en l’air ?
- Que le repli soit brutal sous entend probablement que l’expansion des banques était peu saine, voire spéculative. Que nous n’ayons pas connu de croissance importante, même avant la crise, peut aussi signifier que leur argent ne servait à rien d’utile.