Walter quitte la femme qu’il aime et qui porte son enfant pour un long voyage, une sorte d’errance jusqu’au bout du pays, mais surtout au bout de lui-même. Arrivé au terme de son voyage, il découvrira l’essentiel et sera capable de rentrer. La deuxième partie nous parle de la vie quotidienne à la maison, avec la femme qu’il aime et l’enfant qui est arrivé.
Plus qu’un roman, cet ouvrage est un instantané de sentiments, d’impressions, d’images, de pensées. Il est plus apparenté à de la poésie qu’à une prose traditionnelle.
Voici une lecture à coté de laquelle je suis totalement passée, puisqu'il semble que je sois une des seules lectrices à ne pas avoir aimé (à part peut-être Cachou qui a un avis en demi-teinte). Les billets lus ici ou là sur les blogs m'avaient pourtant grandement donné envie de me plonger dans ce petit livre, d'autant plus que les avis des amies l'ayant lu avant moi coincident en général avec ce que je ressens.
Etrange... Je n'ai ressenti aucune émotion, n'ai pas été touchée par la beauté des phrases dont on parlé les précédentes lectrices. Je n'ai vu qu'un homme en fuite devant ses responsabilités dans la première partie et ... rien du tout ensuite ! J'en déduis donc que cela est plus dû à mon état d'esprit du moment qu'au texte lui-même... et qu'il faudra donc que je m'y replonge un jour ou l'autre !
Un roman prêté par Jeneen, et lu également par Asphodèle, Hélène, Skriban, Anne, Antigone, Laurence chez Biblioblog, Cachou, Livresse...
Corps humain x 2