Ceux qui me connaissent savent l’admiration que je voue à Jethro Tull, un groupe de rock progressif anglais qui comme tant d’autres a connu son heure de gloire dans les années 70. Si la musique de Tull ne s’est pas cantonnée à l’esthétique progressive telle qu’elle a été largement définie par les brontosaures du genre (je pense surtout à Yes et Genesis), il y a malgré tout un album de ce groupe qui s’est élevé dès sa sortie au rang de classique du rock prog. J’ai nommé Thick as a Brick, le premier morceau-album de l’histoire du rock, sorti en 1972, une pièce de 40 minutes s’étalant sur les deux faces du vinyle vendu dans une pochette représentant un faux journal de la petite communauté (imaginaire) de St Cleve (le St Cleve Chronicle), dont la une présente l’histoire de Gerald Bostock, un jeune garçon d’une dizaine d’année, qui a gagné un concours local de poésie grâce à ses parents qui ont menti sur son âge. L’album est une mise en musique du très long poème que l’enfant a présenté à ce concours.
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