Ton ami
Je l’ai sali
Je m’en excuse,
Il n’y avait aucune ruse
Car la compassion m’habite
Mais parfois j’ai mauvaise conduite.
Il y a eu,
Pied fourchu,
Une vile résistance
Car par inadvertance
Mon orgueil justifiant bien,
Pourquoi ton ami n’était pas le mien.
Primaire
Acte pervers,
Je dirais funèbre
Car la force des ténèbres
Cache à mon âme la lumière,
Et hélas à l’humilité met une muselière.
Alors toi,
À chaque fois,
Que, tu verras la cruauté
Et la haine me défigurer,
Rappelle- moi vite et sans détour
Que le fondement de la création est l’amour.
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