Le pain du mensonge,
S’il nourrit le corps le temps de son existence,
En rien il ne fortifie l’âme,
Qui ne pourra se retenir de le vomir dès l’éternité retrouvée,
Pour le remplacer par de tenaces regrets,
Qui sans cesse,réclameront l’indulgence divine,
Par quel pardon lui sera alors accordée la vie nouvelle.