« Je remets la retraite à 60 ans, mais le montant sera diminué.
Faute de moyens les prestations sociales seront diminuées.
Je ferais payer les très riches, mais cela ne rapportera pas grand chose.
J’emploierais plein de fonctionnaires, mais je ne sais pas comment je vais les payer.
Je n’annonce que des dépenses, les agences de notations vont donc dégrader la France, nous payerons des intérêts plus élevés. Etc.
Vous avez bien compris, je ne pourrais jamais tenir mes promesses (rien d’étonnant jusque là), pire je n’inspire aucune confiance à mes futures homologues étrangers. Je suis totalement inconnu et surtout j’ai 15% de communistes dans mon camp. La France va se retrouver décrédibilisée, isolée, elle ne sera plus écoutée.
Sarkosy n’a peut être pas fait grand chose en apparence, mais sa plus grande réussite, et pas la moindre, c’est d’avoir garantie une certaine stabilité de la France dans la tourmente internationale.
Avec moi, il ne faudra plus y compter. »
Français, vous voulez du changement, avec Hollande ça va vous faire drôle !
Hollande, « un politique de seconde zone » pour le New York Times
Le journaliste commence par dresser un portrait au vitriol de François Hollande « malgré un régime de pré-campagne », il « a l’air légèrement négligé » et ne fait toujours pas le poids. Reprenant la phrase de Martine Aubry, l’article explique qu’au sein même de son camp politique, Hollande est considéré comme une « couille molle ».
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble