Et c'est parti pour la holla....

Publié le 18 avril 2012 par Marigotine

                                                     Les bras levés chacun y donne son sens...

    A Vincennes

   Sous la holla, sous la holla...

              Sous la "Hollande" ferveur

  

À Vincennes. «Je suis le seul à pouvoir gagner à gauche.» Une semaine avant le premier tour de la présidentielle, François Hollande a donné le ton sur l'esplanade du château de Vincennes. Avec plus de 100.000 personnes, selon les chiffres du PS, la foule était au rendez-vous, malgré le froid et le vent. Pas de surprises dans ce discours qui a duré 50 minutes. François Hollande a conservé sa ligne de conduite et se défend de tout triomphalisme «avant qu'un bulletin n'ait été glissé dans l'urne». Il veut rester dans la cohérence et pas question de sortir, à moins d'une semaine du premier tour, une nouvelle mesure. Sa ligne de conduite: «la constance», par opposition à Nicolas Sarkozy fustigé «pour l'improvisation, le désordre, l'inconséquence» de ses propositions. Il appelle de nouveau à voter pour lui dès le premier tour. François Hollande le martèle, il est prêt à gouverner la France pour reprendre le flambeau de François Mitterrand 31 ans après son élection. «Rien ne nous arrêtera, rien ne nous empêchera», lance-t-il à une foule conquise." title="Et c'est parti pour la holla...." />À Vincennes. «Je suis le seul à pouvoir gagner à gauche.» Une semaine avant le premier tour de la présidentielle, François Hollande a donné le ton sur l'esplanade du château de Vincennes. Avec plus de 100.000 personnes, selon les chiffres du PS, la foule était au rendez-vous, malgré le froid et le vent. Pas de surprises dans ce discours qui a duré 50 minutes. François Hollande a conservé sa ligne de conduite et se défend de tout triomphalisme «avant qu'un bulletin n'ait été glissé dans l'urne». Il veut rester dans la cohérence et pas question de sortir, à moins d'une semaine du premier tour, une nouvelle mesure. Sa ligne de conduite: «la constance», par opposition à Nicolas Sarkozy fustigé «pour l'improvisation, le désordre, l'inconséquence» de ses propositions. Il appelle de nouveau à voter pour lui dès le premier tour. François Hollande le martèle, il est prêt à gouverner la France pour reprendre le flambeau de François Mitterrand 31 ans après son élection. «Rien ne nous arrêtera, rien ne nous empêchera», lance-t-il à une foule conquise." />À Vincennes. «Je suis le seul à pouvoir gagner à gauche.» Une semaine avant le premier tour de la présidentielle, François Hollande a donné le ton sur l'esplanade du château de Vincennes. Avec plus de 100.000 personnes, selon les chiffres du PS, la foule était au rendez-vous, malgré le froid et le vent. Pas de surprises dans ce discours qui a duré 50 minutes. François Hollande a conservé sa ligne de conduite et se défend de tout triomphalisme «avant qu'un bulletin n'ait été glissé dans l'urne». Il veut rester dans la cohérence et pas question de sortir, à moins d'une semaine du premier tour, une nouvelle mesure. Sa ligne de conduite: «la constance», par opposition à Nicolas Sarkozy fustigé «pour l'improvisation, le désordre, l'inconséquence» de ses propositions. Il appelle de nouveau à voter pour lui dès le premier tour. François Hollande le martèle, il est prêt à gouverner la France pour reprendre le flambeau de François Mitterrand 31 ans après son élection. «Rien ne nous arrêtera, rien ne nous empêchera», lance-t-il à une foule conquise." title="Et c'est parti pour la holla...." />À Vincennes. «Je suis le seul à pouvoir gagner à gauche.» Une semaine avant le premier tour de la présidentielle, François Hollande a donné le ton sur l'esplanade du château de Vincennes. Avec plus de 100.000 personnes, selon les chiffres du PS, la foule était au rendez-vous, malgré le froid et le vent. Pas de surprises dans ce discours qui a duré 50 minutes. François Hollande a conservé sa ligne de conduite et se défend de tout triomphalisme «avant qu'un bulletin n'ait été glissé dans l'urne». Il veut rester dans la cohérence et pas question de sortir, à moins d'une semaine du premier tour, une nouvelle mesure. Sa ligne de conduite: «la constance», par opposition à Nicolas Sarkozy fustigé «pour l'improvisation, le désordre, l'inconséquence» de ses propositions. Il appelle de nouveau à voter pour lui dès le premier tour. François Hollande le martèle, il est prêt à gouverner la France pour reprendre le flambeau de François Mitterrand 31 ans après son élection. «Rien ne nous arrêtera, rien ne nous empêchera», lance-t-il à une foule conquise." border="0" />   «Je suis le seul à pouvoir gagner à gauche.» Une semaine avant le premier tour de la présidentielle, François Hollande a donné le ton sur l'esplanade du château de Vincennes. Avec plus de 100.000 personnes, selon les chiffres du PS, la foule était au rendez-vous, malgré le froid et le vent. Pas de surprises dans ce discours qui a duré 50 minutes. François Hollande a conservé sa ligne de conduite et se défend de tout triomphalisme «avant qu'un bulletin n'ait été glissé dans l'urne». Il veut rester dans la cohérence et pas question de sortir, à moins d'une semaine du premier tour, une nouvelle mesure. Sa ligne de conduite: «la constance», par opposition à Nicolas Sarkozy fustigé «pour l'improvisation, le désordre, l'inconséquence» de ses propositions. Il appelle de nouveau à voter pour lui dès le premier tour. François Hollande le martèle, il est prêt à gouverner la France pour reprendre le flambeau de François Mitterrand 31 ans après son élection. «Rien ne nous arrêtera, rien ne nous empêchera», lance-t-il à une foule conquise. Crédits photo : YOAN VALAT/AFP À la Concorde. Voulez vous danser ma "France" ......
À la Concorde. Plus que six jours pour convaincre. Alors, les candidats à l'élection présidentielle ont jeté ce week-end leurs derniers feux dans la bataille. Dimanche à Paris, Nicolas Sarkozy a réuni des dizaines de milliers de sympathisants place de la Concorde, lieu symbole de la droite, où lui-même avait fêté sa victoire en mai 2007. Dans un discours d'à peine plus de trente minutes, le président candidat s'est adressé, comme il l'avait annoncé, «à la France silencieuse». «Vous êtes les porte-parole de ceux qui n'ont jamais la parole, de ceux qui ne demandent jamais rien, qui ne se plaignent jamais, mais qui sont fiers de la France, fiers de sa culture, fiers de sa langue, fiers de son identité», a-t-il notamment déclaré. Plus de 100.000 personnes, selon le patron de l'UMP, Jean-François Copé, sont venues se joindre à la «marée tricolore». En fin de journée, un message de l'équipe de campagne diffusé sur le compte Twitter de Nicolas Sarkozy évoquait la présence de «150 000 Français»." title="Et c'est parti pour la holla...." />À la Concorde. Plus que six jours pour convaincre. Alors, les candidats à l'élection présidentielle ont jeté ce week-end leurs derniers feux dans la bataille. Dimanche à Paris, Nicolas Sarkozy a réuni des dizaines de milliers de sympathisants place de la Concorde, lieu symbole de la droite, où lui-même avait fêté sa victoire en mai 2007. Dans un discours d'à peine plus de trente minutes, le président candidat s'est adressé, comme il l'avait annoncé, «à la France silencieuse». «Vous êtes les porte-parole de ceux qui n'ont jamais la parole, de ceux qui ne demandent jamais rien, qui ne se plaignent jamais, mais qui sont fiers de la France, fiers de sa culture, fiers de sa langue, fiers de son identité», a-t-il notamment déclaré. Plus de 100.000 personnes, selon le patron de l'UMP, Jean-François Copé, sont venues se joindre à la «marée tricolore». En fin de journée, un message de l'équipe de campagne diffusé sur le compte Twitter de Nicolas Sarkozy évoquait la présence de «150 000 Français»." />À la Concorde. Plus que six jours pour convaincre. Alors, les candidats à l'élection présidentielle ont jeté ce week-end leurs derniers feux dans la bataille. Dimanche à Paris, Nicolas Sarkozy a réuni des dizaines de milliers de sympathisants place de la Concorde, lieu symbole de la droite, où lui-même avait fêté sa victoire en mai 2007. Dans un discours d'à peine plus de trente minutes, le président candidat s'est adressé, comme il l'avait annoncé, «à la France silencieuse». «Vous êtes les porte-parole de ceux qui n'ont jamais la parole, de ceux qui ne demandent jamais rien, qui ne se plaignent jamais, mais qui sont fiers de la France, fiers de sa culture, fiers de sa langue, fiers de son identité», a-t-il notamment déclaré. Plus de 100.000 personnes, selon le patron de l'UMP, Jean-François Copé, sont venues se joindre à la «marée tricolore». En fin de journée, un message de l'équipe de campagne diffusé sur le compte Twitter de Nicolas Sarkozy évoquait la présence de «150 000 Français»." title="Et c'est parti pour la holla...." />À la Concorde. Plus que six jours pour convaincre. Alors, les candidats à l'élection présidentielle ont jeté ce week-end leurs derniers feux dans la bataille. Dimanche à Paris, Nicolas Sarkozy a réuni des dizaines de milliers de sympathisants place de la Concorde, lieu symbole de la droite, où lui-même avait fêté sa victoire en mai 2007. Dans un discours d'à peine plus de trente minutes, le président candidat s'est adressé, comme il l'avait annoncé, «à la France silencieuse». «Vous êtes les porte-parole de ceux qui n'ont jamais la parole, de ceux qui ne demandent jamais rien, qui ne se plaignent jamais, mais qui sont fiers de la France, fiers de sa culture, fiers de sa langue, fiers de son identité», a-t-il notamment déclaré. Plus de 100.000 personnes, selon le patron de l'UMP, Jean-François Copé, sont venues se joindre à la «marée tricolore». En fin de journée, un message de l'équipe de campagne diffusé sur le compte Twitter de Nicolas Sarkozy évoquait la présence de «150 000 Français»." border="0" /> . Plus que six jours pour convaincre. Alors, les candidats à l'élection présidentielle ont jeté ce week-end leurs derniers feux dans la bataille. Dimanche à Paris, Nicolas Sarkozy a réuni des dizaines de milliers de sympathisants place de la Concorde, lieu symbole de la droite, où lui-même avait fêté sa victoire en mai 2007. Dans un discours d'à peine plus de trente minutes, le président candidat s'est adressé, comme il l'avait annoncé, «à la France silencieuse». «Vous êtes les porte-parole de ceux qui n'ont jamais la parole, de ceux qui ne demandent jamais rien, qui ne se plaignent jamais, mais qui sont fiers de la France, fiers de sa culture, fiers de sa langue, fiers de son identité», a-t-il notamment déclaré. Plus de 100.000 personnes, selon le patron de l'UMP, Jean-François Copé, sont venues se joindre à la «marée tricolore». En fin de journée, un message de l'équipe de campagne diffusé sur le compte Twitter de Nicolas Sarkozy évoquait la présence de «150 000 Français». Crédits Discours public. A la santé de notre bien aimé dirigeant... T'inquiète Kim ton Kim est déja arrivé centenaire il n'en a plus trop besoin.... Discours public. Pour la première fois, les Coréens du Nord ont entendu en direct la voix de leur nouveau dirigeant suprême, Kim Jong-un. Dans son premier discours à la Nation avant le grand défilé militaire qui a marqué, dimanche 15 avril, la commémoration du centième anniversaire de la naissance de Kim Il-sung, le «respecté dirigeant» a déclaré que son pays n'avait plus à craindre d'être menacé par une attaque nucléaire, deux jours après le tir d'une fusée qui a soulevé un concert de protestations dans le monde. «La supériorité militaire et technologique n'est plus aux mains des seuls impérialistes. L'époque où nous étions menacés d'une attaque nucléaire est désormais révolue» a-t-il affirmé. La voix posée mais sans passion, Kim Jong-un s'exprimait de la tribune dominant la place Kim Il-sung sous les clameurs de l'assistance. Devant lui, des centaines de soldats en grande tenue et de civils armés de bouquets roses et mauves en plastique, s'alignaient avec la plus grande rigueur sur le site des grands rassemblements du régime. Les cérémonies ont commencé par 21 coups de canon. Puis le leader s'est, pour la première fois, adressé à son peuple." title="Et c'est parti pour la holla...." />Discours public. Pour la première fois, les Coréens du Nord ont entendu en direct la voix de leur nouveau dirigeant suprême, Kim Jong-un. Dans son premier discours à la Nation avant le grand défilé militaire qui a marqué, dimanche 15 avril, la commémoration du centième anniversaire de la naissance de Kim Il-sung, le «respecté dirigeant» a déclaré que son pays n'avait plus à craindre d'être menacé par une attaque nucléaire, deux jours après le tir d'une fusée qui a soulevé un concert de protestations dans le monde. «La supériorité militaire et technologique n'est plus aux mains des seuls impérialistes. L'époque où nous étions menacés d'une attaque nucléaire est désormais révolue» a-t-il affirmé. La voix posée mais sans passion, Kim Jong-un s'exprimait de la tribune dominant la place Kim Il-sung sous les clameurs de l'assistance. Devant lui, des centaines de soldats en grande tenue et de civils armés de bouquets roses et mauves en plastique, s'alignaient avec la plus grande rigueur sur le site des grands rassemblements du régime. Les cérémonies ont commencé par 21 coups de canon. Puis le leader s'est, pour la première fois, adressé à son peuple." />Discours public. Pour la première fois, les Coréens du Nord ont entendu en direct la voix de leur nouveau dirigeant suprême, Kim Jong-un. Dans son premier discours à la Nation avant le grand défilé militaire qui a marqué, dimanche 15 avril, la commémoration du centième anniversaire de la naissance de Kim Il-sung, le «respecté dirigeant» a déclaré que son pays n'avait plus à craindre d'être menacé par une attaque nucléaire, deux jours après le tir d'une fusée qui a soulevé un concert de protestations dans le monde. «La supériorité militaire et technologique n'est plus aux mains des seuls impérialistes. L'époque où nous étions menacés d'une attaque nucléaire est désormais révolue» a-t-il affirmé. La voix posée mais sans passion, Kim Jong-un s'exprimait de la tribune dominant la place Kim Il-sung sous les clameurs de l'assistance. Devant lui, des centaines de soldats en grande tenue et de civils armés de bouquets roses et mauves en plastique, s'alignaient avec la plus grande rigueur sur le site des grands rassemblements du régime. Les cérémonies ont commencé par 21 coups de canon. Puis le leader s'est, pour la première fois, adressé à son peuple." title="Et c'est parti pour la holla...." />Discours public. Pour la première fois, les Coréens du Nord ont entendu en direct la voix de leur nouveau dirigeant suprême, Kim Jong-un. Dans son premier discours à la Nation avant le grand défilé militaire qui a marqué, dimanche 15 avril, la commémoration du centième anniversaire de la naissance de Kim Il-sung, le «respecté dirigeant» a déclaré que son pays n'avait plus à craindre d'être menacé par une attaque nucléaire, deux jours après le tir d'une fusée qui a soulevé un concert de protestations dans le monde. «La supériorité militaire et technologique n'est plus aux mains des seuls impérialistes. L'époque où nous étions menacés d'une attaque nucléaire est désormais révolue» a-t-il affirmé. La voix posée mais sans passion, Kim Jong-un s'exprimait de la tribune dominant la place Kim Il-sung sous les clameurs de l'assistance. Devant lui, des centaines de soldats en grande tenue et de civils armés de bouquets roses et mauves en plastique, s'alignaient avec la plus grande rigueur sur le site des grands rassemblements du régime. Les cérémonies ont commencé par 21 coups de canon. Puis le leader s'est, pour la première fois, adressé à son peuple." border="0" />   Pour la première fois, les Coréens du Nord ont entendu en direct la voix de leur nouveau dirigeant suprême, Kim Jong-un. Dans son premier discours à la Nation avant le grand défilé militaire qui a marqué, dimanche 15 avril, la commémoration du centième anniversaire de la naissance de Kim II-Sung, le «respecté dirigeant» a déclaré que son pays n'avait plus à craindre d'être menacé par une attaque nucléaire, deux jours après le tir d'une fusée qui a soulevé un concert de protestations dans le monde. «La supériorité militaire et technologique n'est plus aux mains des seuls impérialistes. L'époque où nous étions menacés d'une attaque nucléaire est désormais révolue» a-t-il affirmé. La voix posée mais sans passion, Kim Jong-un s'exprimait de la tribune dominant la place Kim Il-sung sous les clameurs de l'assistance. Devant lui, des centaines de soldats en grande tenue et de civils armés de bouquets roses et mauves en plastique, s'alignaient avec la plus grande rigueur sur le site des grands rassemblements du régime. Les cérémonies ont commencé par 21 coups de canon. Puis le leader s'est, pour la première fois, adressé à son peuple. Crédits photo : KNS/AFP Le V victorieux Le roi à Paris. Favori sur la ligne de départ, le Kenyan Stanley Biwott a assumé son statut en s'adjugeant dimanche matin le 36e Marathon de Paris. Avec un chrono de 2h05'10'' pour couvrir les 42,195 km, Biwott s'offre du même coup, à la moyenne de 20,22 km/h, un nouveau record de l'épreuve, détrônant celui de Vincent Kipruto en 2009 (2h05''47). A 26 ans, le lauréat 2012 s'impose comme le roi de Paris puisqu'il signe un doublé après sa victoire dans la capitale le 4 mars dernier sur le semi-marathon. Dans la fraîcheur, et malgré un vent très fort, Biwott s'est envolé, seul, aux alentours du 30e kilomètre, pour lâcher inexorablement ses deux derniers adversaires éthiopiens, Sisay Jisa (2e) et Raji Assefa (3e) qui complètent le podium. «Je me sentais vraiment bien dans la première partie. Je savais qu'il y avait une forte opposition, mais c'est quand je suis parti (au 30e km) que j'ai compris que je pouvais gagner», a déclaré Biwott." title="Et c'est parti pour la holla...." />Le roi à Paris. Favori sur la ligne de départ, le Kenyan Stanley Biwott a assumé son statut en s'adjugeant dimanche matin le 36e Marathon de Paris. Avec un chrono de 2h05'10'' pour couvrir les 42,195 km, Biwott s'offre du même coup, à la moyenne de 20,22 km/h, un nouveau record de l'épreuve, détrônant celui de Vincent Kipruto en 2009 (2h05''47). A 26 ans, le lauréat 2012 s'impose comme le roi de Paris puisqu'il signe un doublé après sa victoire dans la capitale le 4 mars dernier sur le semi-marathon. Dans la fraîcheur, et malgré un vent très fort, Biwott s'est envolé, seul, aux alentours du 30e kilomètre, pour lâcher inexorablement ses deux derniers adversaires éthiopiens, Sisay Jisa (2e) et Raji Assefa (3e) qui complètent le podium. «Je me sentais vraiment bien dans la première partie. Je savais qu'il y avait une forte opposition, mais c'est quand je suis parti (au 30e km) que j'ai compris que je pouvais gagner», a déclaré Biwott." />Le roi à Paris. Favori sur la ligne de départ, le Kenyan Stanley Biwott a assumé son statut en s'adjugeant dimanche matin le 36e Marathon de Paris. Avec un chrono de 2h05'10'' pour couvrir les 42,195 km, Biwott s'offre du même coup, à la moyenne de 20,22 km/h, un nouveau record de l'épreuve, détrônant celui de Vincent Kipruto en 2009 (2h05''47). A 26 ans, le lauréat 2012 s'impose comme le roi de Paris puisqu'il signe un doublé après sa victoire dans la capitale le 4 mars dernier sur le semi-marathon. Dans la fraîcheur, et malgré un vent très fort, Biwott s'est envolé, seul, aux alentours du 30e kilomètre, pour lâcher inexorablement ses deux derniers adversaires éthiopiens, Sisay Jisa (2e) et Raji Assefa (3e) qui complètent le podium. «Je me sentais vraiment bien dans la première partie. Je savais qu'il y avait une forte opposition, mais c'est quand je suis parti (au 30e km) que j'ai compris que je pouvais gagner», a déclaré Biwott." title="Et c'est parti pour la holla...." />Le roi à Paris. Favori sur la ligne de départ, le Kenyan Stanley Biwott a assumé son statut en s'adjugeant dimanche matin le 36e Marathon de Paris. Avec un chrono de 2h05'10'' pour couvrir les 42,195 km, Biwott s'offre du même coup, à la moyenne de 20,22 km/h, un nouveau record de l'épreuve, détrônant celui de Vincent Kipruto en 2009 (2h05''47). A 26 ans, le lauréat 2012 s'impose comme le roi de Paris puisqu'il signe un doublé après sa victoire dans la capitale le 4 mars dernier sur le semi-marathon. Dans la fraîcheur, et malgré un vent très fort, Biwott s'est envolé, seul, aux alentours du 30e kilomètre, pour lâcher inexorablement ses deux derniers adversaires éthiopiens, Sisay Jisa (2e) et Raji Assefa (3e) qui complètent le podium. «Je me sentais vraiment bien dans la première partie. Je savais qu'il y avait une forte opposition, mais c'est quand je suis parti (au 30e km) que j'ai compris que je pouvais gagner», a déclaré Biwott." border="0" />  Favori sur la ligne de départ, le Kenyan Stanley Biwott a assumé son statut en s'adjugeant dimanche matin le 36e Marathon de Paris. Avec un chrono de 2h05'10'' pour couvrir les 42,195 km, Biwott s'offre du même coup, à la moyenne de 20,22 km/h, un nouveau record de l'épreuve, détrônant celui de Vincent Kipruto en 2009 (2h05''47). A 26 ans, le lauréat 2012 s'impose comme le roi de Paris puisqu'il signe un doublé après sa victoire dans la capitale le 4 mars dernier sur le semi-marathon. Dans la fraîcheur, et malgré un vent très fort, Biwott s'est envolé, seul, aux alentours du 30e kilomètre, pour lâcher inexorablement ses deux derniers adversaires éthiopiens, Sisay Jisa (2e) et Raji Assefa (3e) qui complètent le podium. «Je me sentais vraiment bien dans la première partie. Je savais qu'il y avait une forte opposition, mais c'est quand je suis parti (au 30e km) que j'ai compris que je pouvais gagner», a déclaré Biwott. Crédits photo : BERTRAND LANGLOIS/AFP Le bras et le poing toujours armés de haine.... La folie meutrière et sanguinaire jusqu'au bout des phalanges!
Sans remords. Anders Behring Breivik a refusé de reconnaître l'autorité de la justice norvégienne lundi et plaidé non coupable à l'ouverture de son procès pour le massacre de 77 personnes à Oslo et sur l'île d'Utoya le 22 juillet 2011. L'extrémiste de droite, militant islamophobe, qui se définit comme un «templier» au service de la Norvège en lutte contre les périls du «multiculturalisme», entend rejeter sa culpabilité au cours des audiences. Il espère transformer son procès en tribune pour la défense de ses idées. Le tueur est arrivé sous bonne escorte dans la salle d'audience, affichant à plusieurs reprises un sourire suffisant lorsque les gardes lui ont retiré ses menottes, puis serrant le poing droit sur son cœur avant de tendre son bras en guise de salut. «Je ne reconnais pas les tribunaux norvégiens. Vous avez reçu votre mandat de partis politiques qui soutiennent le multiculturalisme», a-t-il déclaré. «Je ne reconnais pas l'autorité de cette cour.» «Je reconnais les faits, mais je ne suis pas pénalement coupable parce que je plaide la légitime défense», a-t-il ajouté." title="Et c'est parti pour la holla...." />Sans remords. Anders Behring Breivik a refusé de reconnaître l'autorité de la justice norvégienne lundi et plaidé non coupable à l'ouverture de son procès pour le massacre de 77 personnes à Oslo et sur l'île d'Utoya le 22 juillet 2011. L'extrémiste de droite, militant islamophobe, qui se définit comme un «templier» au service de la Norvège en lutte contre les périls du «multiculturalisme», entend rejeter sa culpabilité au cours des audiences. Il espère transformer son procès en tribune pour la défense de ses idées. Le tueur est arrivé sous bonne escorte dans la salle d'audience, affichant à plusieurs reprises un sourire suffisant lorsque les gardes lui ont retiré ses menottes, puis serrant le poing droit sur son cœur avant de tendre son bras en guise de salut. «Je ne reconnais pas les tribunaux norvégiens. Vous avez reçu votre mandat de partis politiques qui soutiennent le multiculturalisme», a-t-il déclaré. «Je ne reconnais pas l'autorité de cette cour.» «Je reconnais les faits, mais je ne suis pas pénalement coupable parce que je plaide la légitime défense», a-t-il ajouté." />Sans remords. Anders Behring Breivik a refusé de reconnaître l'autorité de la justice norvégienne lundi et plaidé non coupable à l'ouverture de son procès pour le massacre de 77 personnes à Oslo et sur l'île d'Utoya le 22 juillet 2011. L'extrémiste de droite, militant islamophobe, qui se définit comme un «templier» au service de la Norvège en lutte contre les périls du «multiculturalisme», entend rejeter sa culpabilité au cours des audiences. Il espère transformer son procès en tribune pour la défense de ses idées. Le tueur est arrivé sous bonne escorte dans la salle d'audience, affichant à plusieurs reprises un sourire suffisant lorsque les gardes lui ont retiré ses menottes, puis serrant le poing droit sur son cœur avant de tendre son bras en guise de salut. «Je ne reconnais pas les tribunaux norvégiens. Vous avez reçu votre mandat de partis politiques qui soutiennent le multiculturalisme», a-t-il déclaré. «Je ne reconnais pas l'autorité de cette cour.» «Je reconnais les faits, mais je ne suis pas pénalement coupable parce que je plaide la légitime défense», a-t-il ajouté." title="Et c'est parti pour la holla...." />Sans remords. Anders Behring Breivik a refusé de reconnaître l'autorité de la justice norvégienne lundi et plaidé non coupable à l'ouverture de son procès pour le massacre de 77 personnes à Oslo et sur l'île d'Utoya le 22 juillet 2011. L'extrémiste de droite, militant islamophobe, qui se définit comme un «templier» au service de la Norvège en lutte contre les périls du «multiculturalisme», entend rejeter sa culpabilité au cours des audiences. Il espère transformer son procès en tribune pour la défense de ses idées. Le tueur est arrivé sous bonne escorte dans la salle d'audience, affichant à plusieurs reprises un sourire suffisant lorsque les gardes lui ont retiré ses menottes, puis serrant le poing droit sur son cœur avant de tendre son bras en guise de salut. «Je ne reconnais pas les tribunaux norvégiens. Vous avez reçu votre mandat de partis politiques qui soutiennent le multiculturalisme», a-t-il déclaré. «Je ne reconnais pas l'autorité de cette cour.» «Je reconnais les faits, mais je ne suis pas pénalement coupable parce que je plaide la légitime défense», a-t-il ajouté." border="0" />  Anders Behring Breivik a refusé de reconnaître l'autorité de la justice norvégienne lundi et plaidé non coupable à l'ouverture de son procès pour le massacre de 77 personnes à Oslo et sur l'île d'Utoya le 22 juillet 2011. L'extrémiste de droite, militant islamophobe, qui se définit comme un «templier» au service de la Norvège en lutte contre les périls du «multiculturalisme», entend rejeter sa culpabilité au cours des audiences. Il espère transformer son procès en tribune pour la défense de ses idées. Le tueur est arrivé sous bonne escorte dans la salle d'audience, affichant à plusieurs reprises un sourire suffisant lorsque les gardes lui ont retiré ses menottes, puis serrant le poing droit sur son cœur avant de tendre son bras en guise de salut. «Je ne reconnais pas les tribunaux norvégiens. Vous avez reçu votre mandat de partis politiques qui soutiennent le multiculturalisme», a-t-il déclaré. «Je ne reconnais pas l'autorité de cette cour.» «Je reconnais les faits, mais je ne suis pas pénalement coupable parce que je plaide la légitime défense», a-t-il ajouté. Crédits photo : HAKON MOSVOLD LARSEN/AFP