Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. La débandade est totale. Les sites de droite inventent n’importe quoi, à l’instar de 24heuresactu qui hurlent parce que la presse n’a pas annoncé qu’il y avait deux fois plus de participants au meeting de Sarkozy qu’à celui d’Hollande, dimanche, ce qui est, à l’évidence, faux ; d’ailleurs ce site parle de chiffres calculés par la police alors que la Préfecture de Police a confirmé qu’il n’y avait pas eu de chiffrage.
Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Nicolas Sarkozy multiplie les annonces, comme le soutien de la BCE à la croissance alors qu’il vantait encore récemment l’accord conclus avec Angela Merkel qui est elle-même prête à modifier en cas d’élection de François Hollande. Aujourd’hui, il s’est mis à fustiger les patrons voyous ! Jusqu’où ira-t-il ? Tiens ! Ce matin, il annonçait que le gouvernement n’avait jamais envisagé de vendre une centrale nucléaire à Kadhafi ou à la Lybie alors qu’il avait déclaré au Creusot en juillet 2008 qu’il serait dangereux de ne pas le faire. Le discours est encore sur le site de l’Elysée… (ce qu’a repéré Le Monde).
Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.
Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. L’Institut de l’Entreprise estime qu’il manque 11,4 milliards dans le chiffrage du projet de Nicolas Sarkozy. Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Hier, la presse indiquait qu’un membre du gouvernement, Pierre Lellouche, était suspecté d’employer illégalement une Mauricienne illégalement. Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. François Hollande à 56% au second tour ? On veut croire à cette victoire mais ne nous relâchons pas. Il reste une quinzaine de jours. Partageons mon avis