18 avril Épilogue 1/2 - Tragic Strip Un coup de fil de la Police informa que le frère jumeau de Marc était sous les verrous et qu'il les réclamait. - Tu vas finir de m'expliquer, c'est qui ce frère ? Marc agacé... - Je croyais que nos familles respectives ne nous intéressaient guère... - Mais tout de même un assassin... - Est-ce que je savais, moi ? Je t'en prie, laisse-moi lui parler, après je t'explique, promis, mais je dois savoir, avant... Ils arrivèrent au poste, lui chafouin, elle fermée. Le policier à l'entrée demanda à Isabelle de se retirer, ce qui n'arrangea pas les choses. - Tu devrais rentrer, ça risque d'être un peu long... - Je t'attends au bar, en face. - Ne m'en veux pas... - Mais non idiot ! va ! je t'aime... - Moi aussi, très fort... Marc monta les trois marches comme on va à la guillotine... - Marc ! - Aurèle ! - Salut... - Je te croyais mort, dans l'incendie... - Rien n'est plus anonyme que des cendres. C'est moi qui ai foutu le feu, je me suis évanoui par la porte de derrière avant que les pompiers n'arrivent. Je me suis tenu peinard au fin fond du Vercors, le temps que l'affaire se tasse... - Alors le casse de la B.F.C.E, c'était toi ! - Et oui, petit frère... - Je suis pas ton petit frère... - Quand j'ai su que tu avais mis la Police sur mes traces je me suis juré que je me vengerai. - Alors l'ombre c'était toi ? - Eh oui ! Le policier : - Considérez-vous que ce que vous allez dire sont des aveux ? - Voui. J'ai cambriolé l'Agence Anonyme d'Intérim, pour les costumes... - Ils ne m'ont rien dit... - Ils se sont tus, ils avaient intérêt, avec les fringues, rigolotes, j'ai trouvé des paquets de blanche, alors je leur ai téléphoné... - De la drogue ? - Eh oui, petit frère, vous pouvez noter, greffier, mais faut vous dépêcher d'aller la chercher, s'ils apprennent que je suis enkysté, ils vont la faire disparaître... - Alors tous les meurtres, c'est toi ? - Et voui... - Vous confirmez ? - O.U.I. Même que ce petit salaud en fauteuil, je regrette de ne pas l'avoir trucidé ! j'ai eu très peur, l'entrejambe brûlé au deuxième degré. - Et moi, tu as voulu m'étrangler ? - Seulement te faire peur frérot. - Cesse de m'appeler comme ça... A suivre... demain !
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