En définitive, il faut surtout retenir, quoi que je m’impose, un devoir de réserve, le refus de m’étendre sur le sujet et une retenue certaine à l’égard de la mise en œuvre de ces réformes, par une tierce personne(la crainte de les voir (réformes) érodées et mal transposées, explique mon refus, non par simple égoïsme); que la fiscalité demeure la seule source de revenus, qui puisse, non seulement constituer le socle de l’évaluation constante des ressources budgétaires, en sachant que le marché reflété dans tous ses états, restera, infiniment, le creux de tout systèmes fondés sur les échanges, hormis, sa fonction régulatrice de la production, par conséquent, son influence sur la fixation de l’indice des prix à la consommation par le biais de la maîtrise de l’inflation….etc…mais aussi et surtout, permettra grosso modo, de contenir, les fluctuations économiques conjoncturelles et épisodiques, qui font flâner les réformes, d’une butte à une autre.
De cette conclusion exhaustive, pour une approche exhaustive et thématique, il résulte, à mon sens, une large gamme de procédés, pour parvenir au seuil exigible d’optimisation des recettes de source fiscale, d’autant plus que, l’atomisation dont il est fait mention, ci-dessus, en référence au sens que la physique imprime au terme, fait appelle à une aptitude avérée, à pouvoir cerner, comme, j’ai assez fréquemment pris l’habitude de le préconiser, aussi distinctement, que dans sa globalité, le secteur de l’informel, notamment, celui marchand:
de par sa propension à se développer disproportionnellement aux politiques publiques et la réglementation fiscale,
ainsi que celui des services, qui vient s’offrir comme une donne légale, au désengagement progressif de l’état des secteurs productifs, y compris, la nouvelle, perspective qui consacre la délégation de services comme une alternative innovante, à la gestion de certains services publics.
En tout état de cause, les pays sous-développés, devraient songer, à repenser, la conception qu’ils se font du développement, corrélativement à la place qu’ils accordent à l’aide publique au développement et les mécanismes onusiens d’éradication de la pauvreté, sans oublier, l’aide multilatérale, car, en s’y attelant, on en vient à la conclusion, selon laquelle, toutes les formes d’assistanat, sont supposées imaginées dans le but ultime d’optimiser les politiques locales, en avenant à la logique qui conforte, la valorisation des ressources locales.
De ce fait et rien qu’en partant de ce postulat, on trouve la réponse, à la nouvelle exigence, faite à tous les pays, de se doter, d’un DSRP, au vue, de la récurrence des initiatives locales, dans la définition des stratégies de développement, mais aussi et surtout, les spécificités propres à chaque pays, lesquelles, partent, pour ceux qui s’y retrouvent au mieux, je veux faire, refluer le concept même, des aspects caractéristiques de la composition et l’évolution sociétales, à celles de la gestation, des formes d’organisation économique et administrative, en plus des aspects culturels, le tout, orchestré, dans l’optique d’offrir, un champ de conciliation aussi pérenne avec les systèmes d’administration hérités de la colonisation, que disposé (champ), à engranger les points d’achoppements.