Je suis en train de quitter, et la société avec moi, une des applications Web à laquelle j’ai été le plus longtemps fidèle (je l’utilise depuis le milieu des années 2000) et que j’ai souvent recommandée : RememberTheMilk. Pour quelle autre solution ? Do.
Tout d’abord, je dois dire que je ne peux littéralement pas travailler sans une application de gestion de taches. Aussi ce point est-il critique pour moi. Voici maintenant les trois raisons qui m’ont fait basculer.
Intégration à Google Apps
On utilise intensivement Google Apps chez Madmagz : Docs, Spreadsheet, Calendar, Gmail, Presentation… Do s’intègre très bien à Google Apps. Il reconnaît d’emblée vos collaborateurs. Il permet aussi d’associer à une tache un document Google.
Enfin, killer feature : vous pouvez faire de n’importe quel e-mail une tache !
Facilité du travail collaboratif
Partage de taches
Du moment que les co-équipiers (ceux ayant le même nom de domaine dans leur e-mail, par exemple @madmagz.com) ont été identifiés, le partage d’une tache est très simple : on l’assigne à la personne désirée.
La personne peut l’accepter ou la refuser et, quand elle l’a acceptée et réalisée, on en est notifié.
Commentaires
Le système de commentaires est d’autre part simple et bien fait. C’est comme une conversation, et l’on est notifié à chaque nouveau propos.
Gestion de projets
Vous pouvez rattacher un ensemble de taches à un projet qui a sa date finale. La fonction est rudimentaire mais bien pratique car un projet peut être partagé avec des co-équipiers.
Conclusion
Do n’est pas parfait pour autant, il compte en fait de nombreuses lacunes. Ainsi : pas de hiérarchisation des taches par importance, pas d’heures pour les taches, pas de plugin navigateur, pas de raccourcis clavier, pas de tags, pas de fonction d’export des taches, etc.
Mais si gênantes soient-elles, ses lacunes sont pour notre usage largement compensées par les avantages ci-dessus. L’outil est aussi bien jeune mais ne peut que progresser, surtout lorsque l’on sait qu’il est l’oeuvre de… Salesforce.
Aussi… let’s do it!