The Finder // Saison 1. Episode 9. The Last Meal.
Walter part à la recherche d'un chef (de restaurant) disparu alors qu'un homme vient demander son aide car ce chef avait préparé le repas grâce auquel sa femme était tombée amoureuse de lui.
Walter s'amuse à fond et contrairement à l'épisode de la semaine dernière qui laissait tout l'humour de la série s'évaporer dans une intrigue sans queue ni tête, cette semaine c'est tout le fun
qui ressort. Je pense qu'il faut laisser le temps à The Finder de décanter. Cette série a du potentiel et même si elle n'aura probablement pas de seconde saison, j'aurais été heureux de suivre
les aventures de Watler, Leo et Cie durant les treize épisodes que FOX nous a promis. "The Last Meal" était intéressant car d'une part il permet à Walter se retrouver dans une situation peu
commune mais alléchante quand ce dernier se fait courser par la mafia. Mais on va aussi découvrir que Walter a des dons de cuisinier. Et quand il se met à cuisiner, c'est tout aussi fun. Sans
compter que l'épisode en lui même donne faim. On nous parle de nourriture à longueur de temps. Imaginez le temps que j'ai mis avant de craquer face aux M&Ms que j'avais sous les yeux…. Ca n'a
pas duré longtemps.
Cet épisode était sûrement le plus satisfaisant de la série, car pour une fois depuis un bon bout de temps (sûrement le premier épisode), tous les personnages sont mis à disposition. Notamment
Willia qui se retrouve certes en prison dans cet épisode, mais apporte au moins sa petite pointe de mystère et d'intérêt. Ou encore le grand retour de notre US Marshall préférée, et Leo qui se
retrouve au milieu de toutes ces situations plutôt intéressantes finalement. Si la série ne fonctionne pas toujours, car elle ne s'organise pas bien, elle peut faire des épisodes bordéliques
sympa comme celui ci. On ne peut pas dire que le maitre mot de ce dernier repas soit la construction bien fournie d'un épisode, au contraire, mais j'ai passé un bon moment car on ne se prend pas
la tête. C'est important de voir que les scénaristes sont souriants quand ils écrivent ce qu'ils aiment. Par ailleurs, Walter va rire face au danger. C'est quelque chose d'assez peu surprenant
certes, mais il apporte toujours cette pointe d'humour nécessaire afin de détendre l'atmosphère et j'adore ça.
Note : 6.5/10. En bref, du grand n'importe quoi mais surtout beaucoup de fun.