Courrier des lecteurs #6. Merci Lisianne.

Publié le 13 avril 2012 par Leshakerdecyril

Il m'arrive de recevoir des mails sympas, des moins sympas, des loufoques, des sérieux. En tout cas matière à une nouvelle rubrique "Le courrier des lecteurs". Vous pouvez vous aussi me faire parvenir vos courriers, vos réactions aux articles etc... à cette adresse leshakerdecyril@yahoo.fr 

Lisianne qui vient chroniquer de temps en temps ici-même vient de recevoir par mon intermédiaire ce petit mail. Je ne sais pas comment elle va aborder ce message, mais j'ai bien rigolé et je remercie une nouvelle fois Jerôme pour ce petit brûlot. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas "Les chroniques de Lisianne" c'est ici.


Ton prénom c’est vraiment  Lisianne ? T’es vraiment une princesse ? Pour annoncer la couleur je viens de choper l’ordinateur de ma femme qui t’adore. Tenter de comprendre la passion et le fantasme envers ta personne. Tu me diras que je viens me mêler de ce qui ne me regarde pas et tu auras tort. C’est la galère tes chroniques. C’est d’un chiant, je viens de tout lire. La galère.

Pauvre petite princesse abandonnée, pleurnicharde sur la vie. Une princesse écorchée vive, une princesse « relou » moi je dis. Et pendant ce temps ma femme qui fantasme. En même temps vivant à Paris et avec ton métier d’hôtesse de l’air je ne peux que la comprendre. Ici dans la Drôme on rigole pas tous les jours. Elle doit fantasmer sur les avions ma femme, ou sur les hôtesses, ou sur les Steward.

Je ne vais quand même pas m’habiller en Barman de luxe dans un coin de la chambre pour la reconquérir. Le plus simple c’est l’abandon, un coup de fil au shaker et hop « allo shaker j’arrête, j’ai piscine demain et après-demain j’ai plus le temps !!!! ». Je dis ça car avec le bol que j’ai tu vas nous chier une note sur tes relations, les speed dating, et moi j’ai bien peur que ma femme suive le mouvement. Allez tu arrêtes, je te donne un chèque, c’est notre secret, juré-craché sur les ailes de ton avion.

Je ne t’embrasse pas mais le cœur y est.

Jerôme.