Pour vous faire un résumé de ce que vous lirez dans le canard un peu plus tard (ben oui je ne peux pas tout vous mettre non plus sinon vous n'acheterez pas le journal...), sa grosse crainte se situe en natation. En novembre, il ne savait pas nager le crawl, n'a jamais nagé en lac et encore moins au milieu d'un paquet d'où pas mal d'interrogations. Pour le vélo, même si évidemment, ça ne devrait pas lui poser trop de problèmes, il veillera avant tout à ne pas se griller. "Je préfère faire 5 h 10 au lieu de 4 h 45 ou 5h et pouvoir courir ensuite", confie-t-il sagement. Son objectif est fixé à 10 heures avec selon lui 1h30 à la sortie de la première transition, 5 heures pour le vélo et 3 h 30 pour le marathon.
Perso, je suis prêt à parier qu'il fera beaucoup mieux et ne devrait pas être loin des 9 h 30 voire même mieux. En le voyant nager (beau style avec pas mal d'amplitude, respiration 3 temps) et en prenant ses chronos (3'45 environ aux 200), sa natation devrait se boucler autour de 1 h 15 et quelque chose me dit qu'en tant que compétiteur, il devrait faire aussi un peu mieux en vélo et à pied. Il a quand même bouclé Barcelone au printemps en 2h45 (62e au scratch), en "gérant". Avec ces perfs et l'entraînement qu'il s'impose (des semaines à plus de 25 heures), il devrait pouvoir aller chercher son slot pour Hawaii (même si, de toute façon, il aura une wild-card s'il la demande). Mais pas sûr qu'il se laisse tenter. "Même si ça représente une course mythique, je ne sais pas si j'en ai vraiment l'envie", dit-il. La natation en mer sans combi lui fait vraiment peur et il n'est pas sûr d'être prêt à se réinvestir dans une préparation. "Ce n'est pas le début d'une seconde carrière, précise-t-il. C'est juste un défi personnel. Même pas sûr que je refasse un jour un triathlon." ... A suivre.
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Quelques news diverses "petits sports".
. Dur week-end pour les hockeyeurs et hockeyeuses sur gazon de Saint-Germain-en-Laye qui disputaient la Coupe d'Europe. Autant chez les filles (à Swansea, Pays de galles) que chez les garçons (à Bloemendal, Pays-Bas), ce fut particulièrement compliqué avec trois défaites en trois matches de poule. Dur dur... En l'emportant lors de la séance de stroke, les filles réussissent toutefois à maintenir la place de la France en Trophy, soit l'équivalent de la Division 2 européenne.