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Les paradoxes participent à la beauté de ce monde. À son intolérable odeur de putréfaction itou, mais c’est autre chose. On a donc passé un weekend hautement paradoxale où d’un côté de la ville, des rues complètes étaient bloquées pour restituer les 12 stations du chemin de croix du Christ, et de l’autre pour que les bandes à pied voudouisantes puissent faire librement leur musique. Des deux côtés de la ville, des foules toutes aussi importantes qu'enthousiastes. Et des foules probablement concomitantes. C’est un paradoxe ou une rationalité que je n’arrive pas à saisir ? Dès que je trouve la réponse, je vous le fais savoir.