REUTERS, AGENCE DE PRESSE OU ORGANE DE PROPAGANDE ?
L'agence de presse qui nous vend "de l'info en continu", brings you the latest news from around the world... est-elle un organe de propagande au service des puissants intérêts occidentaux pour infumer les peuples par delà des frontières ?
Lorsqu'on lit le contenu des ces fameuses "news" ou "info" on est toujours surpris de voir à quel point le rédacteur s'implique dans le sujet, au delà de l'info justement, et parfois sournoisement. Il y a pour ainsi dire systématiquement un "parti pris" dans la présentation de l'info, souvent plus grossièrement dans le propos tenu. De sorte qu'il m'arrive fréquemment de "ne pas être d'accord avec une dépêche Reuters ! Ce parti pris s'accorde systématiquement avec l'idéologie néo libérale conservatrice de l'occident en effet.
On conspue volontier le Chinois, propagateur de maladies, censeur et despote ; on justifie les actions de l'occident sur le plan international, et à l'échelle nationale ce sont les gouvernements de droite qui bénéficie le plus souvent des services de "Reuters l'info en continu".
Dès qu'une multinationale a un problème d'ordre médiatique, elle peut également compter sur une dépêche en forme de mise au point pour éteindre l'incendie.
Reuters, est donc, dans ce contexte, le bras médiatique armé de la politique occidentale, des gouvernements de droite, et des multinationales... mais cela n' a rien d'extraordinaire, dans la mesure ou Reuters est une multinationale côté en bourse dont le siège est à New York. Une société qui s'adonne au "business de l'info" — avec charte professant volonté d'indépendance, impartialité et exactitude des faits rapportés, bien sûr.
Et, on comprend que personne ne viendra troubler ce "business de l'info" puisque tout le monde participe. Ce n'est pas les Inrock, ou même le Canard Enchainé, aussi irrévérencieux qu'ils se prétendent, ni aucun journal d'ailleurs, qui osera faire une sujet sur le thème "Reuters, info ou propagande ?"
Reuters fait partie de paysage capitaliste néo libéral et nous devons gober de la "business news" comme de l'info sans sourciller.