Même ses vagues sont bidons

Publié le 09 avril 2012 par Fred Camino @elc95

Je me demande si notre président ne serait pas un usurpateur, un peu comme le type qui était directeur de l'aéroport de Limoges et qui avait tout inventé, ses diplômes, son expérience et son passé. Nicolas Sarkozy est nul avec les chiffres, je l'avais déjà dit dans mon blog à baffe mais là j'en suis sûr, je crois qu'il ne comprends rien, je crois bien que c'est lui qui a du souffler le prix du ticket de métro à la quichette de service NKM, la pauvre. Ou alors c'est l'escroc du siècle.
Sarkozy n'a aucune idée de la valeur des choses, que ce soit en politique ou dans la vie, il parle d'une vague de 42 mètres de haut le jour du tsunami japonais qui ne faisait que 23 mètres, je crois que c'est l'effet talonnettes, pour ses dépenses c'est pareil, tout est démesuré. Il se dit français ordinaire, il fait croire que la gauche est riche, la gauche caviar qu'il l'appelle mais il oublie qu'il est le représentant des nantis, des ultras riches, du CAC40, ceux qui mangent le caviar à la louche. Et sa Carlita qui déteint, elle se met à renier son ancienne vie, elle qui a aimé se taper la moitié du showbiz, plutôt de gauche.
Toujours les chiffres, il répète dans le JDD "J’ai promis que l’on serait à 0% de déficit en 2016 et à 3% en 2013", on aurait presque envie qu'il repasse pour le voir se planter. Non je déconne, on connaît ses compétences, je retiendrais toujours les 600 milliards d'euros engloutis et le million de chômeurs supplémentaires depuis 2007. Le plus éloquent ce week-end sont les chiffres vu dans Marianne chez le beau-père, ceux des dépenses hallucinantes de Sarkozy au nom de la France. Sarkozy a réussi à dépenser autant que Merkel et Obama réunis. En dépense, c'est plus que la première nation mondiale et la première nation européenne. Vraiment hallucinant. Oui ce président est un usurpateur, les français se sont fait arnaquer par un beau parleur, un escroc qui ose nier son bilan catastrophique en retournant la situation sur le candidat d'en face, ses déclarations sont de plus en plus insupportables, sa surenchère de promesses de plus en plus racoleuses.
Je propose de virer le nuisible avec une grande lame de fond.