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Danny The Dog

Publié le 08 avril 2012 par Olivier Walmacq

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genre: action, arts martiaux (interdit aux - 12 ans)
année: 2005
durée: 1h40

l'histoire: Bart a élevé Danny comme un chien, dressé pour tuer. Il est donc entraîné pour des combats à mort. Après un réglement de compte, Danny se retrouve seul. Il est alors recueilli par Sam, un vieil aveugle et sa fille.

la critique d'Alice In Oliver:

A la base, Danny The Dog n'avait pas grand chose pour convaincre puisqu'il s'agit d'une production Luc Besson.
Ensuite, c'est Louis Leterrier qui assure la réalisation de ce film qui oscille entre drame, action et arts martiaux.
Inutile alors de préciser que ces deux noms ont le mérite de faire peur.

Au niveau des acteurs, Danny The Dog réunit Jet Li, Bob Hoskins, Morgan Freeman, Kerry Condon et Vincent Regan.
Contre toute attente, Luc Besson et Louis Leterrier se montrent plus inspirés qu'à l'accoutumée. Le scénario pourrait se voir comme un mixe improbable entre Bloodsport et La Leçon de Piano.

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Attention, SPOILERS ! Danny (Jet Li) a perdu la mémoire et tout souvenir de son passé. Recueilli par Bart (Bob Hoskins), un sinistre individu qui l'élève comme un chien, Danny est entraîné pour les combats clandestins.
Rapide, puissant et imprévisible, Danny se montre particulièrement habile dans les arts martiaux et enchaîne les victoires.

Bart détient enfin la poule (ou plutôt le chien) aux yeux d'or. Mais un jour, l'homme est victime d'un réglement de compte.
Danny parvient à s'échapper et est recueilli par Sam (Morgan Freeman), un vieil homme aveugle, et sa fille adoptive, Victoria (Kerry Condon).
Au contact de ces deux personnes, Danny va réapprendre à vivre et retrouver une humanité perdue depuis bien longtemps.

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Voilà un scénario plutôt intéressant. En vérité, la grande surprise du film se nomme Jet Li. Non seulement, l'acteur se montre très compétent dans les arts martiaux mais tire son épingle du jeu dans les séquences dramatiques.
Jet Li apporte une vraie sensibilité et une véritable émotion à son personnage. Plus que jamais, Danny est un jeune homme à la recherche de son passé.
La clé de ses souvenirs semble se trouver dans une mélodie de piano à la fois douce et mélancolique.

Dommage que l'intrigue soit aussi prévisible. Aussi, le spectateur averti devinera assez facilement les clés d'un scénario assez peu surprenant au final.
Mais ne boudons pas notre plaisir ! Par exemple, les séquences de combat sont plutôt réussies et délivrent largement la marchandise.
Clairement, on n'en demandait pas autant de la part du duo Louis Leterrier/Luc Besson. 

Note: 13/20 


Danny the Dog


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