A chaque niveau de la maison correspond une terrasse. La glycine déroule son parfum sur les murs de la façade. De la chambre à coucher, un pas et je me glisserais volontiers dans cette chilienne entraperçue avec un livre à la main. La vie de cette maison s’écoule en douceur et c’est si agréable.
De l’ancienne habitation, peu de choses subsistent.
La démolition intérieure a permis une reconstruction et une réinterprétation totales des volumes.
Le salon est largement ouvert sur l’extérieur.
Le mobilier sert de délimitation entre les espaces de vie (fauteuils de Charlotte Perriand-Le Corbusier, table basse de Marcel Breuer)
La cuisine américaine permet le dialogue entre convives et hôtes.
Encore une rénovation très réussie de l’architecte Josephine Rooney Duval dans laquelle je me verrai bien vivre…
http://www.rooney-duval-architect.com/contact/