A las cinco de la manana…
Je n’aime pas les théories du complot. Mais que deux accidents soient survenus dans des hôtels de luxe de New York à moins d’un an d’intervalle, impliquant deux personnalités sociales-démocrates, me laisse un arrière-goût amer. Dans l’affaire DSK, si je n’ai pas le moindre doute sur le fait que notre ancien ministre des Finances ne s’est sans doute pas fait prier, il subsistera toujours un doute sur la possibilité d’un traquenard. Sur l’affaires Descoings, qu’un homme de 53 ans puisse être retrouvé mort « subitement » interroge. Mais là encore les ombres sont nombreuses, et notamment la question du téléphone et de l’ordinateur de la victime.
J’ai toujours été un grand amateur d’Agatha Christie et j’en ai retenu un principe simple : lorsque quelque chose dérange dans une scène, c’est qu’il est manifestement un indice très important. On pourra toujours arguer que Richard Descoings (que je connaissais bien au passage) est rentré ivre-mort, bourré, dopé que-sais-je d’une soirée new-yorkaise et a oublié son ordinateur et son portable sur un palier. Certes. On pourra aussi soupçonner que les informations contenues dans le téléphone et l’ordinateur étaient importantes et que s’il y a eu meurtre, c’est la première chose que le meurtrier a emporté pour mieux effacer les traces.
Bref, il ne fait pas bon de fréquenter New-York en ce moment, surtout pour les caciques socialistes. Et je me demande sérieusement s’il n’y a pas un service secret étranger qui se venge sur nos ressortissants ou qui élimine une série de personnes dans un but bien précis. Il nous reste la bête coïncidence, mais pour cela nous verrons l’avenir… et si un 3ème cas se manifeste.
François, reste en Corrèze !