Raising Hope: 2.17 Spanks Butt, No
Spanks
Toujours un plaisir. Ça faisait un moment que l'éducation de Hope avait un peu été délaissé, j'ai donc été heureux de la retrouver au centre d'une intrigue. De 1) parce qu'elle reste quand même le sujet de base de la série et de 2) parce qu'elle est toujours un bon prétexte pour réunir tous les Chance qui sont toujours plus drôles ensemble. Ça ne rate pas ici et cette histoire de fessée s'avère rondement mené par les Chance et leur douce folie, en plus d'offrir un peu d'irrévérence avec le positionnement particulier de la famille sur la question de la punition physique. Le coup du flashback sur l'enfance de Jimmy est sinon toujours un gimmick de la série sympathique et qui permet en plus d'entretenir une certaine mythologie de la série. Le schéma d'utilisation de ce procédé se fait toutefois un peu répétitif avec toujours un des parents qui n'a pas été totalement franc. A part ça, Sabrina est elle concentrée sur un problème de raton laveur, heureusement, sans être mise à l'écart. Son affection pour la bête et ses tentatives originales de l'amadouer se révèlent d'excellents moyens pour poursuivre l'intégration de Sabrina aux Chances en la dévoilant tout aussi fantaisiste et dingue qu'eux.
Raising Hope: 2.18 Poking Holes in the Story
Oh yeah ! Maw Maw is back ! And funnier than ever ! Pour une fois en plus, la grand-mère cinglée est plus qu’un simple accessoire comique et a droit à une vraie intrigue, la liant à Jimmy et Sabrina et qui plus est génialement barrée et osée. Et en même temps assez touchante. Elle se retrouve en effet à croire que Jimmy est son défunt époux et à le chouchouter comme tel… celui-ci en profitant alors, jusqu’à ce que ça dégénère, ce qui s’avère d’autant plus drôle que cela arrive avec Sabrina. Loin de le prendre mal malgré la première surprise, la jeune femme s’accoutume néanmoins vite à la situation pour offrir avec l’aide de Jimmy une dernière occasion à Maw Maw de revivre ses souvenirs d’amour heureux. Si c’est pas bô ça… En parallèle, Virginia et Burt sont occupés avec un couple d’ados niais qu’ils cherchent à remettre dans le droit chemin… ou pas. Au final, il s’agit surtout d’eux et de leurs idées divergentes… qui aboutissent sur la nouvelle preuve d’un amour indestructible. Un cheminement pas bien nouveau dans la série, mais je n’ai pas bien envie de lui reprocher car les persos des ados sont assez décalés pour faire rire et Plimpton et Dillahunt sont toujours si formidables et complices ensembles qu’il m’est impossible de rester insensible.