Ça m’a fait penser à l’album Murder, Misery And Then Goodnight de Kristin Hersh dont j’ai déjà parlé plusieurs fois.
Elle y reprend des standards américains qui lui servaient de berceuses, alors que c’étaient des histoires sordides de crimes passionnels, violents et comme inconscients de leur propre part de mal.
Voici la triste histoire de Poor Ellen Smith.
Photographie (détail) de Corinne May Botz.