Politiqu’Art !

Publié le 04 avril 2012 par Mister Gdec

Le nom de leur groupe est le titre d’une chanson des Beattles peu connue. Est-ce un hasard ? j’avoue ne pas avoir pensé à leur poser la question. Mais commençons par le commencement. Comment les ais-je connus ? De manière très simple : à la suite de l’un de mes billets, l’un d’entre eux m’a déposé un commentaire, dans lequel il y avait un lien, que j’ai suivi, et j’ai découvert ça :

je ne sais pas ce que vous en pensez (je compte sur vous pour me le faire savoir) mais moi, j’ai aimé tout de suite. Le son, les paroles, le clip, tout me semblait détenir une qualité que l’on ne trouve pas si souvent dans les groupes amateurs. Aussi, je leur ai proposé de me contacter dès le lendemain, et j’ai eu la surprise de découvrir la voix de Gilles un beau lundi matin, avant hier donc.  je lui ai posé les questions d’usage : qui êtes vous, d’où venez vous et où vous voulez aller ?  Et nous nous sommes découvert une même logique dans la manière de créer et de promouvoir, eux dans le domaine musical, moi sur mon blog. Une phrase notamment me revient de ce bref entretien téléphonique, pas très politiquement correcte mais bon, les convenances, on s’en fout : “nous sommes des enculeurs de mouche”, m’a avoué Gilles, voulant parler de cette préoccupation commune que nous avons d’un contenu bien léché, de paroles pesées, d’images adéquates, du désir de passer du temps par simple souci de perfection,  sans se soucier ni de temps, ni de notoriété, ni d’argent, ni du nombre de visites sur le compteur.

D’ailleurs, à ce sujet, avez-vous remarqué le nombre de personnes qui ont vu cette vidéo, sur le compteur de YouTube ? 954 personnes… Dérisoire à mes yeux pour un titre de cette qualité. Ils méritent mieux. Alors, si vous êtes de mon avis, faites passer !

Et si vous voulez en savoir davantage, leur compte facebook est ici. Ils ont aussi un compte sur Buzztune, un truc que je ne connaissais pas, ici.

Et voilà l’histoire de l’une de ces rencontres magiques que permet cet internet que d’aucuns  dénigrent… Eux dans l’arrière pays niçois, moi dans mon vieux Lunévillois, Lorraine profonde…  Comme quoi le net permet aussi de belles histoires ! Elle est pas belle, la vie ?