C'est chez
Luther que naquit l'expression "philosopher à coups de marteau", d'un besoin universel de renverser le christianisme en faveur du catholicisme.
la réforme toucha toutes les sphères de la société chrétienne: politique, religieuse, économique, artistique, littéraire.. etc
Luther, dans cette démarche, postule pour une destruction des valeurs et des coutumes en place (moyen âge), en faveur d'un system plus égalitaire et surtout plus à l'abri de la superstition. dans lequel, la foi pourrait s'exprimer dans des schémas plus conforme à son accomplissement.
Nietzsche développe ce concept pour lui donner sa forme définitive:
- Détruire le monde
- Détruire dieu
- Détruire l'homme
- et..reconstruire le gai savoir
Or cette destruction, qui implique une séparation et une remise en cause, totale, du moi. implique aussi une séparation avec des êtres réels, des amitiés, à travers ces concepts. et dans cette figuration l'être ne peut pas, ne pas être affecté, comme l'a précisé
JP Sartre et plus tard
Michel Onfray (ce dernier, précisa aussi l'absence de positivité dans l'œuvre de Nietzsche). Et c'est dans cette tentative de "reconstruction" qu'intervient cet homme:
Jan Erhardt Jensen, qui lui, est partisan d'une réconciliation, dans des réincarnation (non pas physique dans des vies futurs! :) mais par approximation ou par intuition sur le rapport perdu quelque soit sa nature) pour réparer les karmas qu'à engendré cette destruction.