La révolution française est un bel exemple de cette dynamique, car ce ne sont pas les gueux qui se sont révoltés pour prendre la bastille. mais les bourgeois qui bondissaient, pour un nouvel ordre, et ont entrainés avec eux les miséreux et misérables de tout bord..encore une fois le profit et le pouvoir étaient les seuls véritables motifs.
Chez les arabes la révolution iranienne, où, libéraux, communistes, socialistes et islamistes, qui visaient à renverser la monarchie se sont fait voler la vedette par les islamistes. ceux là en réalité étaient les seuls dans le lot à avoir quelque résidu de la noblesse de l'honneur. "la nature des arabes nomades et imbus de leur personnalité, ne trouve comme régulateur politique que la religion"ibn khaldoun. Quand l'encre n'a pas assez coulé, c'était au sang de rétablir l'équilibre.
Les révolutions contre l'envahisseur obéissent aux mêmes lois: "le peuple ne se révolte pas quand il a faim mais quand il veut manger plus" ghandi . la révolution algérienne , elle aussi, fut mise en branle par un appétit de confort et de luxe du prolétaire algérien qui voulait lui aussi une télévision et un boy..et il se trouva des raisons pour les avoir!