Un architecte de Béziers au chômage depuis plus de trois ans, demande une intervention législative. Il propose de considérer l'architecte comme « un médecin de l'environnement, qui doit devenir un aiguilleur, un conseiller avant d'entreprendre des travaux. » Après avoir déposé quelque 3.027 curriculum vitae un peu partout en France pour autant d'échecs, il vient de trouver enfin un stage de formation professionnelle. Cet homme qui semble plein d’idées a probablement oublié un aspect de la situation : il a 59 ans et, en période de crise, les entreprises préfèrent sous-payer des primo travailleurs que sur-payer des seniors conseilleurs.