Peut-être ne faut-il pas défendre à tout prix l’immanence des images. Peut-être est-il possible d’imaginer de nouvelles modalités du secret. Si les médias numériques sont tra(ns)ductifs, si on peut donc les traduire numériquement d’une image à une autre image, alors il est possible de cacher une image dans une autre image, la première jouant un peu le rôle d’un code génétique, déterminant certes mais invisible sans la clé. On pourra associer cette image produite dans le secret de son code à un objet quelconque, rond, petit, avec un circuit palpitant électroniquement du signal du code. C’est la direction prise sur une nouvelle version d’Enemy en court de réalisation.