Prolongeons la note d’hier sur notre assiette, par les résultats très contradictoires d'une enquête récente. Elle semble montrer, crise aidant, qu’une écrasante majorité de nos concitoyens seraient prêts à changer leurs modes de consommation. Mais sans pour autant tout bouleverser; ils n’ont pas envie de mettre tout cul sur tête. Ils ont pris conscience qu’il faut sans doute se serrer un peu la ceinture mais ne renoncent pas au « toujours plus ». Ils refusent de revenir en arrière sur quoi que ce soit. En particulier la grande majorité n’est pas à la veille de souhaiter un changement radical de la société dans les "valeurs recherchées" et ses fondements actuels.
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