Publier un livre, en fait, n’est pas très compliqué. Le tout est d’avoir les idées claires, les bonnes informations, et de passer à l’action.
Il y a aujourd’hui deux grandes options.
1/Passer par un éditeur.
C’est le plus difficile. Comment optimiser ses chances ? Tout d’abord, s’assurer que son manuscrit est impeccable.
Puis choisir et cibler les éditeurs. N’envoyez pas vos textes à des maisons qui n’éditent pas votre genre, ça ne sert à rien et ça revient vite cher.
1 manuscrit sur 1000 est édité en utilisant cette technique.
Avantages : c’est le prestige, la reconnaissance en tant qu’auteur, et si votre éditeur n’est pas manchot, une promotion sérieuse et une promotion en librairie.
Inconvénients : très difficile d’accès, des droits d’auteurs dérisoires payés une fois l’an, perte de contrôle de votre texte jusqu’à 70 ans après votre mort.
2/Publier soi-même.
Publier en solo demande de la volonté et un investissement dérisoire. Les solutions d’édition papier et ou électronique sont nombreuses. Vous publiez votre livre quand vous voulez, sans censure ou impératifs commerciaux.
Il faut s’en occuper sérieusement, mais cela n’a jamais été aussi facile qu’aujourd’hui.
Avantages : de 30 à 70 % de droits d’auteurs selon les supports, contrôle total de votre production.
Inconvénient : il faut se former, trouver une méthode qui vous aide pour cela, et ne pas avoir peur d’investir son temps.
Conclusion : ne choisissez pas ! Publiez votre livre vous-même tout en continuant à démarcher les éditeurs, et à tisser votre réseau.
Comme l’écrivait l’auteur Gabriel Matzneff, le choix est le nom philosophique de la mutilation…
Ne choisissez pas, agissez, maintenant !