Il s'agit, selon l'Agence américaine de protection de l'environnement, l'EPA du premier renforcement de cette norme depuis 10 ans, alors que la teneur en ozone résulte principalement de la pollution industrielle et automobile.
Le directeur de l'EPA a déclaré à cette occasion que l'air était aujourd'hui plus pur qu'il y a une génération en arrière, en assurant qu'en respectant et en renforçant les normes nationales en teneur en ozone, les États-Unis continueront à faire des progrès dans ce domaine, alors que l'ozone forme le smog avec de fines particules en suspension dans l'atmosphère, qui recouvrent parfois les grands centres urbains comme Los Angeles.
Comme il fallait s'y attendre, les milieux industriels ont immédiatement critiqué cette décision dont l'impact est jugé néfaste pour l'économie.