Giscard pouvait bien avoir trois points d'avance sur Mitterrand, au premier tour (et en plus, ils n'avaient pas 182 sondages par semaine...). La gauche est forte, aujourd’hui. Que cela soit grâce à François Hollande, à Jean-Luc Mélenchon ou à tout autre acteur de cette campagne… voire par simple rejet de celui qui incarne une droite dont on ne veut plus, ce n’est pas la question. L’ennemi est bien Nicolas Sarkozy note Seb Musset dans un excellent billet : « Sur le packaging média et sa surexploitation, la montée Mélenchon arrange les bidons d'une droite qui peut ainsi, en une passe, détourner la question de son manque de programme et de ses maigres réserves de voix au second tour tout en tapant sur François Hollande, suspecté de ne pas être assez à gauche aujourd'hui, accusé de faire alliance avec les communistes dans un mois. » Le changement, c’est maintenant. Bordel ! Partageons mon avis
Giscard pouvait bien avoir trois points d'avance sur Mitterrand, au premier tour (et en plus, ils n'avaient pas 182 sondages par semaine...). La gauche est forte, aujourd’hui. Que cela soit grâce à François Hollande, à Jean-Luc Mélenchon ou à tout autre acteur de cette campagne… voire par simple rejet de celui qui incarne une droite dont on ne veut plus, ce n’est pas la question. L’ennemi est bien Nicolas Sarkozy note Seb Musset dans un excellent billet : « Sur le packaging média et sa surexploitation, la montée Mélenchon arrange les bidons d'une droite qui peut ainsi, en une passe, détourner la question de son manque de programme et de ses maigres réserves de voix au second tour tout en tapant sur François Hollande, suspecté de ne pas être assez à gauche aujourd'hui, accusé de faire alliance avec les communistes dans un mois. » Le changement, c’est maintenant. Bordel ! Partageons mon avis