©Gabriele BasilicoLes photographies d'architecture de Gabriele Basilico ont ceci de particulier que, même si elles sont à peu près systématiquement vides de personnages, elles n'en sont pas moins pleine d'une certaine présence, d'une profondeur qui rendent denses des paysages urbains qui, photographiés par d'autres, auraient facilement pu paraître sinistres. Ici, la performance est double : en plus d'être vide d'habitants, Beyrouth est dévasté par la guerre (1991).Galerie Anne Barrault
©Gabriele BasilicoLes photographies d'architecture de Gabriele Basilico ont ceci de particulier que, même si elles sont à peu près systématiquement vides de personnages, elles n'en sont pas moins pleine d'une certaine présence, d'une profondeur qui rendent denses des paysages urbains qui, photographiés par d'autres, auraient facilement pu paraître sinistres. Ici, la performance est double : en plus d'être vide d'habitants, Beyrouth est dévasté par la guerre (1991).Galerie Anne Barrault