Conspiracy 365 // Saison 1. Episode 3. March.
Après avoir parlé de l'épisode 2 tout à l'heure, je vous parle maintenant du suivant, histoire de rattraper mon retard sur la série, car oui, j'ai du retard malheureusement (enfin, maintenant je
suis prêt pour le mois prochain et l'épisode sur le mois d'avril). Après s'est concentré sur la fuite de Cal, il fallait lui apporter un peu plus de consistance et c'est ce que cet épisode nous
propose avec pas mal de facilité. En effet, l'histoire était très sympathique. Nous faisons la rencontre de Repro, un homme étrange qui vit dans les sous sol du métro et collectionne les objets
trouvés dans les trains. Si au début il apparait fou et cinglé, ce sera le cas tout au long de l'épisode. Ce personnage, bien que je ne comprenne pas trop son but au début de l'épisode, va petit
à petit nous offrir quelque chose d'intéressant : notamment quand ils vont devoir faire équipe afin pénétrer chez Oriana de la Force afin de récupérer le Ormund Riddle, une sorte de parchemin
secret, faisant partie des secrets de son père. Le début de l'épisode était donc plus calme, notamment parce qu'il faut nous raconter qui est Repro. Mais on ne va pas tellement nous en dire
(malheureusement). Cela reste correct, bien qu'il arrive comme un cheveu sur la soupe.
Cette intrigue m'a presque rappelé la saison 2 de 24 quand la pauvre Kim Bauer va rencontrer une tonne de cinglés sur sa route. Mais ce nouvel épisode ne s'arrête évidemment pas à cette relation.
En effet, Cal va également avoir l'aide de Boges. Dans un premier temps pour trouver un lieu où se poser quelques temps. Mais uniquement pour un épisode évidemment. C'est ce que j'aime bien avec
Conspiracy 365, on ne reste jamais au même endroit bien longtemps (il faut dire aussi que le temps passe extrêmement vite étant donné qu'un épisode doit faire tenir un mois entier à l'intérieur).
Boges s'avère être un excellent ami, et même si encore une fois on prend les facilités (Boges est un pro de la chimie et il sait faire de ces trucs quand même et comme par hasard, Cal a tout sous
la main. C'est un truc de fou quand même). Malgré tout, et comme pour les deux premiers épisodes finalement, la sympathie du héros de la série qui joue plutôt bien permet de se laisser prendre au
jeu et de ne pas faire gage de ce genre de choses. Evidemment, j'aurais préféré que la série prenne le temps de faire les choses de façon un peu plus distinguée mais bon.
Note : 7/10. En bref, toujours sympathique, la série se suit avec toujours autant de fluidité. Les australiens sont forts.