Pourtant, il s’agissait d’une simple coïncidence puisque, comme l’évoque Mr Peyrrade, secrétaire général de la Fédération CGT des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication (Filpac) ici dans Le Monde :
“Le but n’était pas de censurer Sarkozy mais de défendre des emplois menacés dans la presse”. “Plusieurs éditions locales de Ouest-France ne sont pas parues à cause d’un mouvement mené au niveau national à la fois par la Filpac-CGT mais aussi par le Syndicat national des journalistes (SNJ), “par solidarité” avec les salariés du pôle de presse normand du Groupe Hersant Média, dont fait partie le journal Paris Normandie, précise M. Peyrade.”
Pourquoi avoir désigné à la vindicte des militants de l’UMP les seuls syndicalistes de la CGT alors que le mouvement était soutenu par d’autres syndicats ? Probablement pour se venger (admirez la méthode…) de ce que la CGT est l’un des seuls syndicats à se positionner clairement contre la politique désastreuse de Sarkozy pour les travailleurs et les plus modestes. Était-ce une raison pour s’abaisser au mensonge ? Les électeurs trancheront bientôt. Et c’est tant mieux. Ras le bol de ces méthodes de voyou. Je serais à la CGT, j’appellerais à porter plainte.
ça en fera une de plus… #jedisçajedisrien